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Fictionneuse-Amoursucre

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7 Deadly Sins Nanatsu no Taizai OP 1-"Netsujou no Spectrum"

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“ Ça fait des mois que je veux poster une image de Ryo mais j'ai la flemme... ” - dimanche 15 avril 2018 05:33
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Création : 12/02/2017 à 18:56 Mise à jour : 15/04/2018 à 09:10

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2 articles taggés Tiana

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Chapitre 12

Fin du chapitre 11

<<Je ne supporte pas d'être à son image> Qu'est ce que ça veut dire Kate ?




Point de vue de Kate

Rosalya -me retenant- : Putain Kate calme toi !
Moi -me débattant- : Mais laissez moi lui refaire la face !
Lysandre -me tenant par la taille- : Calme toi Kate.

Après encore une bonne dizaine de minutes à lui mettre des claques pendant que Rosalya et Lysandre tentaient de me stopper, je me calma et respira un bon coup pour ne pas lui mettre une bonne droite. Elle a le nez en sang et elle le mérite.


Rosalya : Franchement t'as déconné Peggy !
Peggy -se tenant le nez- : J'suis désolée, j'pensais pas que ça l'énerverais autant.
Moi : Ça se voit que tu m'connais pas connasse !
Lysandre : Tu as eu de la chance Peggy. On était là pour retenir un minimum Kate.
Rosalya : Si ça avait été Castiel j'garantis pas qu'avec mes bras j'aurais réussi à le stopper.
Peggy : J'vois pas pourquoi ça énerverais Castiel.
Lysandre : Des rumeurs sur une de ses amies, normal qu'il s'énerve.
Moi -m'approchant- : Quoi qu'il en soit, t'as intérêt à stopper tes conneries !
Peggy -gênée- : Heum....
Moi -n'en pouvant plus- : Quoi !?
Peggy : Une...une nouvelle édition a été envoyée...
Moi -fulminante de colère- : DE QUOI !?
 
Cette fois je vais la buter. Voyant ma haine, Lysandre s'approcha de moi pour me calmer mais le coup était parti. Je venais de lui mettre un coup de pied de la tête qui la fit tomber. Elle le méritait tellement ! Je me retourna brusquement et Rosalya sursauta.
 
Rosalya -ayant peur- : T-ton oeil.....ton oeil droit !
Moi : Qu'est ce qu'il a mon oeil droit ?
Rosalya : Il....il est rouge....
 
Je ferma les yeux quelques secondes et les ré-ouvris.
 
Moi : Je ne vois pas de quoi tu parles.
 
Je commença à avancer. Je lança un dernier regard noir à Peggy avant de quitter sa maison. Vu la réaction de Rosalya, c'est bon, mon oeil est redevenue violet. Mon Dieu, ce que je déteste cette chose. Je marcha jusqu'à chez moi et entendis Rosa et Lys' derrière moi. Nous passâmes la route silencieusement. Une fois arrivée chez moi, je balança mon sac par-terre et m'étala sur mon canapé. Flocon vint tout de suite me sauter dessus pour me lécher. Qu'est ce que je ferais sans elle et son soutient ?
 
Rosalya : À ton avis, il y a quoi dedans ?
Moi : Dans quoi ?
Lysandre : Dans la nouvelle édition.
Moi : J'en sais rien et...
 
Je me stoppa net en entendant quelqu'un défoncer ma porte. Je me dirigea vers elle et l'ouvrit voulant stopper ce vacarme.
 
Moi -ouvrant la porte- : Qu'est ce qu'il...
Castiel -me poussant et rentrant- : J'VAIS LA TUER !
Moi : J'peux savoir ce que t'as !?
 
Je ferma la porte et me dirigea dans le salon. Castiel écrasa des papiers sur ma table basse. C'est un journal.
 
Moi : Qu'est ce que c'est ?
Castiel -en rage- : Nouvelle édition !
 
J'accouru vers ce torchon et le lu. Mais c'est quoi ce bordel !
 
Chapitre 12
Moi -énervée- : .....affaire à suivre ! Rédactrice en chef, Peggy, coeur>> LA PUTE !
 
Je balança cette connerie par-terre, non mais je rêve !

Castiel : Je vais la buter l'apprentie journaliste à deux balles !
Lysandre : Calme toi Castiel.
Castiel : ME DIS PAS DE ME CALMER !
Rosalya : Les amis, c'est pas pour vous speeder mais les cours commencent dans dix minutes !
Lysandre : Il faut qu'on se dépêche, vous venez.
Moi : Non, j'reste chez moi. J'en ai marre de ce lycée !
Castiel : Moi aussi, aujourd'hui je sèche !
Rosalya : Castiel ! Kate est protégée par monsieur HILBIRD mais pas toi, si tu sèches tu vas avoir des ennuis avec la directrice !
Castiel : Et si j'viens j'vais casser la gueule du délégué et j'aurais aussi des ennuis avec la vieille alors bon.
Moi : Castiel tu devrais...
Castiel : La ferme ! Tu devrais y aller, retrouver ton mec chéri !

Non mais il est sérieux là !? Quel connard ! Je partis dans ma chambre et claqua la porte violemment. Putain je vais le tuer. Je m'écrasa contre mon lit. Elisia est partie passer deux jours chez Eloïse, apparemment elles devaient faire un projet. J'espère que Pascal n'aura pas l'idée de la chercher là bas. Au moins, elle ne sera pas en cours. Ambre a beau ne pas être là, ses chiens et le reste de la classe la déteste. Castiel, je te hais. Je resserra mon oreiller contre ma poitrine et sentis quelques choses couler sur mes joues. Je posa ma main dessus et la mis devant moi. Des larmes ? Pourquoi je pleure ? Ça doit être des larmes de haine, oui, c'est sûrement ça. J'allais balancer mon oreiller contre le mur quand j'entendis des voix.
<<...ne peux.....quoi de.....Ernandès.....Dorothée a....>> On dirait une télé-novelas !
Je me dirigea vers le salon et eu la surprise de voir Castiel, sur mon canapé, ma télécommande à la main. Heu....okay.... Je toussa pour me faire remarquer et il tourna la tête vers moi un grand sourire aux lèvres.

Moi : Tu m'expliques ce que tu fais ?
Castiel : Je sèche !
Moi : Tu peux sécher chez toi ?
Castiel : Je suis désolé, ça t'vas ?
Moi -surprise- : Sérieux ?
Castiel : Ouai... J'étais tellement énervé qu'on t'imagine en couple avec cet abruti que j'ai pété un plomb sur toi.

Je m'approcha de lui et m'assis à côté.

Moi : Pourquoi ça t'énerves autant qu'on m'imagine en couple avec Nath ?
Castiel : Parce que ça m'énerve !
Moi : Merci pour cette brillante explication professeur Turner !
Castiel : Au plaisir !
Moi : Non mais sérieux !
Castiel : Tout simplement parce que vous allez pas bien ensemble.
Moi : Comment ça ?
Castiel : Tu vas pas avec ce type de mec !
Moi -l'air moqueuse- : Et avec quel type de mec vais-je bien ?
Castiel : Je sais pas moi...-faisant semblant de réfléchir-...Un type comme moi !
Moi -posant une main sur son torse- : Serait ce une déclaration d'amour ?
Castiel -riant- : Ahah, qui sait ?

La sonnerie du téléphone nous coupa dans notre délire et me coupa le souffle par la même occasion quand je vis qui était celui qui m'appelait. Je me jeta sur mon téléphone pour répondre.

Moi : Allô ?
??? : ..........
Moi : Bryan enfin ! Pourquoi tu ne réponds jamais ?
Bryan : ....................
Moi : Quoi ? Mais comment ça dans quel pays je suis ? Tu t'fous de moi ? J't'ai envoyé un message avant de quitter l'Angleterre ! Je t'ai dis que...
??? : ..................
Moi : Tiana ! Laisse moi parler à Bryan ! Que je sache tu n'as aucune raison de te mettre entre nous !
Tiana: ...............................
Bryan : ............
Tiana : .......................
Bryan : ................
Tiana : .....................................
Moi : Bon c'est fini ! Bryan est à moi ! Donc arrête tes conneries et laisse moi.......

La connasse elle a raccroché !

Moi -balançant mon téléphone- : La pétasse !
Castiel : C'est qui ce Bryan ?
Moi -me retournant vers lui- : Tu dois sûrement le connaître....c'est un célèbre chanteur, Bryan O.
Castiel : Et bah, j'croyais pas ça de toi.
Moi : Comment ça ?
Castiel : <<Bryan est à moi>>, je savais pas que toi aussi t'étais une idole de ce chanteur faisant tourner toute les têtes. J'pensais pas que t'étais une groupie folle amoureuse d'un artiste.

Je ne pus m'empêcher de m'écrouler au sol pour mourir de rire.

Castiel -dans l'incompréhension- : Je peux savoir ce qu'il y a ?

J'en pleure tellement ce mec me fait rire. Moi ? Avec Bryan ? Et puis quoi !

Moi -tentant de me calmer- : Je...je....ahah.....désolée....c'est juste que....ahahah.......donc...C'est vrai que Bryan O. est beau, gentille, drôle mais sortir avec lui serait considéré comme de l'inceste
non ?
Castiel : Quoi !?
Moi : Tu ne t'es jamais demandé ce qu'il voulait dire le "O". Son nom c'est -en chantonnant- Bryan...OWEN....

Castiel était bouche bée et moi, de nouveau morte de rire. Je crois qu'il va me tuer avant la fin de la journée.

Castiel : T'es.....t'es la soeur de ce mec !
Moi : Et bah non j'suis sa mère ! Mais qu'est ce que tu crois ? Oui je suis sa s½ur !

Il est toujours bouche bée, je crois que je l'ai traumatisé à vie.
Je me dirigea vers mon buffet et en pris un immense album photo puis m'installa à côté de lui, il passa une main autour de mon cou pour la poser sur mon épaule opposée à lui. Ce geste me fit grandement frissonner, qu'est ce qu'il m'arrive ?

Moi : Je crois qu'il est temps que je t'en dise un peu plus sur ma famille.
Castiel : C'est vrai que je ne sais rien de toi.
Moi : Moi non plus je ne sais rien de toi.
Castiel -baissant la tête- : Ma vie est compliqué à croire...
Moi : Comment ça ?
Castiel : Disons juste que c'est bizarre et que ça peut faire peur. Si je le dis à quelqu'un, je crois que je finirais seul...
Moi -posant une main rassurante sur sa jambe- : Moi je ne te jugerais et ne t'abandonnerais jamais.
Castiel -posant sa main sur la mienne- : Merci...

Mon pauvre Castiel, crois moi, ta vie ne peux pas être pire que la mienne. Celle qui a le plus de chance de finir seule c'est moi. Je suis une assassin, si tu arrives à battre ça, bravo !

Moi -ouvrant l'album- : Donc, voilà mon frère, notre très cher Bryan.

Chapitre 12
Castiel : C'est la photo d'un shooting ?
Moi : Non. C'était y'a cinq ans, avant qu'il ne devienne une star. Je prenais des photos de paysages japonais et il aimait tellement être pris en photo qu'il avait tourné mon objectif. Résultat, une quarantaine de photos de lui et deux photos de paysage.

Je ne peux m'empêcher de sourire en repensant à ce jour.

Castiel : Il est toujours aussi souriant ?
Moi : Toujours ! -tournant une page- Là, c'est une photo de ma petite s½ur prise lors d'un Hanami.
Chapitre 12
Castiel : Elle est aussi belle que toi. Elle avait quel age ?
Moi : Merci, elle avait huit ans, aujourd'hui elle en a quatorze.
Castiel : Elle s'appelle comment ?
Moi : Elle s'appelle Azumi.

Il ne pose pas d'autres questions ? Tant mieux, je n'ai pas trop envie de parler d'elle. Pauvre Azumi, promis je vais retrouver cet enfoiré ! Je tourna à nouveau une page.

Moi : Là, c'est....ma mère.
Chapitre 12
Castiel -choqué- : Attend. Ta mère c'est Ayano MATEHARA !?
Moi : Ayano OWEN. En tant qu'artiste, elle a préféré porter son nom de jeune fille pour rendre fière sa famille quand ils verront leur nom sur des livres, des magazines, à la télé etc... Sinon je vois que tu t'intéresses pas mal à la mode monsieur TURNER.
Castiel : Pas besoin de s'y intéresser pour la connaitre ! Ta mère est "the" icone de la mode !
Moi : C'est vrai.
Castiel : Dis moi, c'est vrai qu'elle est en prison pour meurtre ?
Moi -serrant les poings- : Oui mais elle est innocente sauf que personne ne veut y croire !

Je serra tellement le poing que j'enfonça mes ongles dans ma paume ce qui la fit saigner. Castiel posa une main sur la mienne qui se décrispa immédiatement.

Castiel : Moi j'te crois...
Moi -souriante- : Merci...

C'est dingue ce que sa présence et son soutient me font du bien.

Moi : Et enfin, mon père adoré !

Chapitre 12
 
Moi : Chad OWEN !
 
Je vis Castiel se crisper à sa vision, je le vis vraiment choqué.
 
Moi : Est ce que ça va Castiel ?
Castiel : O...oui....oui....Tu...enfin, il travaille dans quoi ton père ?
Moi : Il travaille dans une compagnie...heu...aérienne...
Castiel : On dirait que tu as hésité ?

Evidemment que j'ai hésité ! J'allais pas te dire que mon père est un assassin professionnel quand même !

Moi : Non...non pas du tout...

Le malaise était palpable, Castiel semblait perdre tout ses moyens devant la photo de mon père.
Soudain nous entendîmes une sonnerie, celle de mon téléphone. SAUVÉE ! Je décrocha en vitesse sans regarder le nom de celui qui m'appelait.

Moi : Oui allô ?
??? : Salut Kate, comment ça va ?
Moi : Ça va bien et toi ?
Nina : Ça va. Je t'appelle juste pour te dire que ce soir, faudra que tu me préviennes quand tu seras près des bureaux O.L.P.S, comme ça je t'enverrais le plan détaillé de l'endroit.

Et merde, j'avais oublié cette mission !

Moi : Heum....d'a...d'accord...
Nina : Ne me dit pas que tu as encore oublié que tu avais cette mission !
Moi -gênée- : Pas....pas du tout !
Nina : C'est cela oui, bon à plus.
Moi : À plu...

Merci de me laisser finir ma phrase avant de raccrocher ! Bon bah ce soir, 22H00, direction l'O.LP.S. Pourquoi c'est moi qui doit faire cette mission ? Je suis pas spécialisée en infiltration
moi ! Bref... Je me retourna vers Castiel.

Moi -souriante- : Tu veux faire quelque chose ?


Point de vue de Nina

Moi : Pour cette mission, il y avait trois personnes possibles Clay, Kae et Kate. J'ai compris que tu voulais que se soit un membre de l'Elite qui y aille mais pourquoi Kate ? Kate et Kae sont toutes les deux parfaites pour cette mission et je trouve qu'en ce moment tu ne donnes pas beaucoup de mission à Kae.
Ryo : Je comprends ce que tu veux dire. La raison est simple Kate est une professionnelle comme on en voit plus. Elle est talentueuse en technique d'assassinat, en diversion et en infiltration. Kae, elle, est certes très douée, je ne l'ai pas fait rentrer dans l'Elite pour rien. Mais c'est une mission très importante et elle panique très vite. Mais par dessus tout, dans cette mission nous risquons de rencontrer des assassins d'une agence F.P.G et il va falloir se battre au corps à corps et Kae ne sait pas se battre au corps à corps, c'est une tireuse.
Moi -soucieuse- : Je comprend mais, alors pourquoi pas Linda ? Avec ses yeux de la poupée elle pourrait ordonner aux gardes de l'amener directement au papier.
Ryo : Les yeux de la poupée, Linda n'arrive pas très bien à les maîtriser. En fait, elle les utilise sans s'en rendre compte. Et puis, quand elle utilise ses yeux de la poupée sur quelqu'un, cette personne va droit au but sans faire de détour, cela signifiera donc qu'il foncera dans le champs des caméras sans demander son reste, ça ne nous attirera que des ennuis. Protégés par l'Etat ou non, nous ne devons pas nous montrer. De toute façon elle a déjà une mission assassinat ce soir.
Moi : Et si...
Ryo -me coupant- : Mmmh, ma très chère Nina j'ai l'impression que tu ne veux pas que Kate fasse cette mission, ai-je tord ?
Moi : Je....

Bon sang, Ryo a le don de me faire bégayer en moins de deux secondes.

Moi : Non, tu as tout à fait raison.
Ryo : Pourquoi ?
Moi : J'ai l'impression que depuis l'entretien avec toi, elle est bizarre.

Ryo baissa la tête....attendez, quoi !? Ryo baisser la tête ? C'est comme si Thomas appeler Alex par son prénom ! Il releva sa tête et prit un air des plus sérieux et froid. Il fait peur comme ça.

Ryo : Je m'en fiche qu'elle soit bizarre ou non ou de son ressenti. Si je lui confie une mission et l'exécute c'est tout.
Moi : C'est étrange Ryo. Tu te forces à te montrer dur. Je le sais, la seule chose que tu veuilles faire c'est de la prendre dans tes bras et de la rassurer. Tu considères Kate comme ta fille et nous le savons tous.
Ryo - crispant les yeux- Il faut croire que tu me connais très mal.
Moi : Il faut croire que ce soit toi qui ne te connaisses pas.

Rien qu'en disant cette phrase, je savais que je prendrais cher.

Ryo : Vous avez décidé de tous me faire chier en ce moment ou ça se passe comment ? Je suis votre maître et vous mes esclaves, mes ordres envers vous sont absolus, vous devez m'obeir et c'est tout.
Moi : Tu te rappelles ce que tu as dit à Kate il y a quelques années ?
Ryo : Je te demande pardon ?
Moi : <<Que tu pleures, que tu cries, que tu souffres, nous, on sera toujours là pour toi. Même si ta famille est loin, tu nous as nous. Pour l'instant, c'est nous, ta famille.>>. Je me rappelle l'avoir vu pleurer. C'est la première fois de ma vie que j'avais vu Kate pleurer. C'était des larmes de joie, elle est belle quand elle est heureuse. Cette promesse, j'ai bien peur qu'elle n'y croit plus et je la comprend.

Je vis ses yeux briller. Il pleure ? Non, impossible ! Ryo ne pleure jamais et encore moins le nouveau Ryo.

Ryo -à voix basse- : Va t-en...
Mo : Comment ?
Ryo -pleurant de rage- : DÉGAGE !

Je sursauta et pris mes jambes à mon cou. Il fait vraiment peur quand il crie !


Point de vue de Ryo

Elle partit en claquant la porte et je balança mes affaires par terre. Non mais c'est un complot ou quoi !? Je n'ai pas changé, je fais toujours ce qui est juste. Et je suis toujours avec Kate ! Je la considère toujours comme ma fille et ça ne changera jamais. Je refuse qu'elle quitte l'agence et par dessus tout je refuse qu'elle ne croit plus en ce que j'ai dit. J'ai dit ce que je pensais et je le pense toujours. C'est moi le patron, ils doivent croire en ce que je crois ! Kate doit rester près de moi. Près de moi, elle est en sécurité, si il lui arrive quelque chose je ne me le pardonnerai jamais, JAMAIS !
Tags : Ryo, Nina, Lysandre et Rosalya, Kate OWEN ♥, Mission, amitié, souvenir, famille, Azumi, Ayano, Chad, Bryan, Tiana, Castiel
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#Posté le vendredi 14 avril 2017 17:53

Modifié le vendredi 18 août 2017 15:26

Chapitre 16

Fin du chapitre 15
 
??? : Allô ?
Moi : Salut Ryo, j'aimerais te poser une question.
Ryo : Quoi ?
Moi : Tu préfères moi et la justice ou Pascal et la connerie humaine ?
 
Point de vue de Kate
 
Ryo : Pascal BARLE ?
Moi : Oui.
Ryo : Pourquoi cette question ?
Moi : J'ai besoin de le coincé. Il a fait du mal à deux de mes amis. Dont une dans les loges d'OLIVRINE, je me suis dit que tu pourrais me passer l'accès aux caméras.
Ryo : Ecoute Kate je...
Moi : Il m'a aussi frappé.
Ryo : Par....Pardon !?
Moi : Il s'est placé au dessus de moi et m'a assailli de coup de poing.
 
Sans que je m'y attende, Ryo me mit en attente. Il est sérieux là ? Je lui annonce qu'un des membres de l'Elite s'est fait frappé par ce con et c'est comme ça qu'il réagit ? Il me met en attente !
Au bout de 5 minutes à me dire à quel point ce type est con, Ryo reprit l'appel.
 
Moi : Tu m'expliques l'attente ?
Ryo : Dans les studios d'OLIVRINE pas vrai ?
Moi : Oui.
Ryo : J'ai envoyé un message à celle qui gère les studios. Vas y, elle te donnera les caméras de surveillance.
Moi : Tu l'as convaincu en seulement 5 minutes !?
Ryo : Voyons Kate, je suis Ryo SAKAWA on ne peut rien me refuser. Encore moins quand c'est à une femme que je m'adresse.
 
Ah oui j'avais oublié ça.
 
Moi : Mais dis moi, il n'y a personne devant les caméras, pourquoi personne n'a réagit ?
Ryo : J'ai appris qu'il profitait qu'il soit un de mes amis de longue date pour menacer ceux qui observaient les caméras de surveillance.
Moi : Oh...très bien...
Ryo : Au revoir Kate.
Moi -avant qu'il ne raccroche- : Attend Ryo !
Ryo : Quoi ?
Moi : Si c'est un ami de longue date à toi, pourquoi fait tu ça ?
Ryo : Pour toi.
Moi : Quoi !?
Ryo : Peu importe à quel point j'apprécie une personne, elle devient un de mes ennemis s'il te fait du mal.
 
Il raccrocha. La dernière remarque eu le don de me faire rougir. Ryo SAKAWA, peut être qu'en dessous de cette coquille dur et sans c½ur se cache encore le vrai toi. Je sortis de ma chambre, Nathaniel est déjà dans le salon. Il m'attendait et semblait pensif.

Moi : Bon, plus qu'à aller à OLIVRINE
Nathaniel : Aux studios d'OLIVRINE ? Pourquoi y aller ?
Moi : Tu peux me rendre un service Nath ?
Nathaniel -souriant- : Evidemment !
Moi : Ferme là pour une fois et suis moi !

Il s'exécuta en baissant la tête. Il s'attendait à quoi ? Que je lui demande de rester avec moi pour toujours et à jamais ?

Point de vue externe, à des centaines de kilomètres.

Une jeune fille à tenue de Lolita s'avança vers elle. La belle femme blonde voulait bougeait mais elle n'y arrivait pas. La jeune lolita n'avait rien de spécial et pourtant, elle ne pouvait pas ne pas en avoir peur.

Femme : Ne t'approche pas !
La jeune fille : Silence insolente !

La femme voulu hurler mais aucun son ne sortit de sa bouche. Ses yeux, remplis de larmes, fixaient ce de la jeune fille. Ils semblaient irréaliste. Les yeux de la lolita semblaient être fait en cristal tellement ils étaient brillants et beaux.

La jeune fille : Quelqu'un que tu aimais plus que tout t'as abandonné. Prise de rage tu l'as sauvagement tué. Dans le goût du meurtre et de la luxure tu as pris partie du meurtre et de la vengeance facile.
Femme -choquée et terrifiée- : Co....comment tu sais ça !?
La jeune fille : Le spectre coloré que je vois autour de toi ne peut rien me cacher. Le rouge mélangé à ce sombre vert m'indique une rage et une jalousie inouïes. Tu prêches le mal et incites aux péchés. Tu prodigues ta libido désinvolte et méprise ton prochain. Tu dégrades le monde de ton idiotie.Ton âme est à tout jamais souillée par le crime. Mes yeux de poupée peuvent voir le tourment qui émane de ton c½ur. Que cette lame purificatrice assainisse ton âme pour qu'on puisse, dans l'haut-delà, te permettre de retrouver ton exultation d'antan. Je t'octroie cette aubaine. Sois en reconnaissante.

La lolita leva son couteau et lui planta dans la jugulaire, elle le retira d'un coup et le sang gicla. Malgré que quelques gouttes se dirigeaient vers l'assassin mais aucune ne l'atteignirent. Comme si elle garderait classe et dignité quoi qu'il arrive. Elle porta le corps encore en vie et partit dans le jardin. Elle posa le corps et l'arme du crime dans l'incinérateur et l'activa. Des cris de souffrance se firent entendre, on pouvait ressentir toute l'horreur de la personne ensanglantée se faisant brûler vive. La jeune tueuse repartit sur le lieu du crime et analysa le sang par-terre.

La jeune fille : La prochaine fois j'empoisonnerais. Le sol sera moins maculé de sang.

La lolita sortit un papier de sa poche.

La jeune fille : Plus de mission pour aujourd'hui.

Elle se saisit de son téléphone portable.

La jeune fille : Ryo, j'ai fini ma journée.
Ryo : DÉJÀ !? Mmmmh, efficace et rapide. Tu es une perle Linda.
Linda : Je suis déjà au courant.

Le jeune homme raccrocha puis, la dénommée Linda quitta le manoir dans lequel, elle était. Elle prit le bus et se rendit à un hôpital. Une fois arrivée, elle ne passa même pas par l'accueil et monta directement. Elle arriva devant un médecin qui l'autorisa à rentrer dans la chambre voulu.
La chambre était celle d'une jeune fille rousse semblant âgée de quatorze ans. Linda s'assit sur une chaise à côté du lit. Elle regardait tout. L'intraveineuse, le moniteur cardiaque, le masque à oxygène. Tout cela lui donnait mal au ventre. Linda n'avait plus des yeux froids et sans vie, elle avait désormais des yeux humides remplis de tristesse.
Chapitre 16
Linda : Salut Azumi, tu vas bien ? Les médecins continuent à dire qu'il faut te parler continuellement. Je le fais. Tu sais, Kate m'en veut encore. Elle m'en veut d'avoir survécu, pourtant tu n'es pas morte. Pas vrai ? Kate sait aussi que tu n'es pas morte alors pourquoi m'en veut t-elle ? Peu importe, je ne vais pas te parler des problèmes entre moi et ta s½ur. Tu es en vie. Kate et moi le savons. 

Linda saisit la main de la jeune inconsciente ne présentant aucun signe de vie.

Linda -les larmes aux yeux- : Pourtant...je n'arrive pas utiliser mes yeux de la poupée sur toi...Je ne vois aucun spectre autour de toi...même pas un blanc....Je ne vois pas de couleur...comme pour les cadavres...Mais tu n'es pas morte, le moniteur cardiaque le montre.

Linda ne leva pas la tête car elle le savait, la ligne se faisant de plus en plus droite.

Linda : Je te promet Azumi...quand Kate et moi aurons le niveau...on retrouvera celui qui nous a fait ça....Tu sais...les docteurs nous on dit que tu n'avais rien de grave mais que si tu ne te réveillais pas, c'est parce que tu ne voulais pas...Que tu ne voulais pas affronter quelque chose. Quelle est cette chose ? Quelle est la chose tellement horrible que tu refuses de voir ? Quelle est la chose qui fasse en sorte que tu préfères rester dans un profond sommeil ? Peut être qu'au fond tu sais que comparé à nous, Stacy n'a pas survécu. C'est ça que tu veux éviter ? Bon, je ne vais pas t'embêter plus longtemps. Juste, en ce moment, je sais que Kate te l'a déjà dit mais, Ryo a beaucoup changé. J'ai peur....peur qu'un jour  il nous demande de tuer des innocents. Bref, il a beaucoup changé et ça nous inquiète tous...Bon, au revoir Azumi, repose toi bien et s'il te plait...réveil toi...

La jeune lolita se leva de la chaise et quitta la chambre. En sortant, elle passa un côté d'une infirmière qui rentra dans la chambre. Elle se saisit du calepin qu'elle avait dans les mains et nota ce qui était affiché sur le moniteur cardiaque.

Azumi : If....Ryo......it's necessary.....

L'infirmière se retourna brusquement vers la patiente.

Azumi : We must....find....find.....Carla......Honey....and......and Troy.....fo......for Ryo....
Infirmière : Oh mon Dieu....
Azumi : Sui.....Suicide.....punir les coupables......IL S'EST SUICIDÉ !
Infirmière : OH MON DIEU ! MÉDECIN ! UN MÉDECIN VITE !

L'infirmière partit en courant à la recherche d'un médecin. La ligne sur le moniteur cardiaque s'affolait et partait dans tout les sens. La jeune fille était encore dans le coma et pourtant son visage affichait une profonde terreur. Elle crispait les mains sur les draps blancs qui recouvraient son corps, elle avait du mal à respirer même avec le masque à gaz. Quelque chose venait de se produire en elle comme une sorte......d'éléctro-choc.

Point de vue d'Elisia

Je suis devant.....devant l'arme de Kate....je l'avais déjà remarqué mais je n'avais rien dit.....Peut être que cet arme pourrait m'aider....nous aider....Sans moi.....tout serait plus simple.....Maman serait encore en vie....Kate ne se prendrait pas de coup.....et Nathaniel n'aurait jamais été blessé....Sans moi....tout le monde serait heureux.....Sans vraiment réfléchir, je me saisis de cette arme et laissa un post-it à Kate...Si je meurs....je veux que ce soit là où je me suis fait frappée pour la première fois....c'était un coup d'Ambre....Ambre.....comme je te déteste....maintenant je sais ce que je vais faire....Je partis de l'appartement de Kate et me dirigea, à pas très très lents, au lycée.

Point de vue de Kate

Moi -éc½urée- : C'est vraiment dégueulasse !

J'entendais encore Nathaniel vomir, le pauvre est trop sensible.

Moi -me moquant un peu- : Ça va Nathichou ?
Nathaniel -"malade" : Oh te moque pas !

Il re-vomit une nouvelle fois dans le seau que je lui avais apporté deux minutes plutôt.

Nathaniel : La tête perverse de Pascal, les larmes et les cries d'Elisia, les coups et le sang qui gicle...tout ça ça.....ça......-sursautant un peu-......ça m'éc½ure !
Moi : Pauvre chou, il supporte pas la violence. Mais en tout cas t'as raison, c'est éc½urant.
Bon, y'a une heures Elisia m'a appelé pour me dire qu'elle allait revenir à la maison mais qu'avant elle allait passé le bonjour à sa mère, elle lui manquait. Vu le voyage chez Eloise à sa maison......elle doit bientôt être chez moi. Maintenant qu'on a des preuves pour les flics, on a juste à rentrer et expliquer la situation à Elisia.

Je m'approcha de Nathaniel qui est toujours appuyé contre le seau. J'y crois pas, le mec qui m'a "sauvé" et qui a mit à terre un mec de 80 kilos, est pas capable de regarder un peu de violence sans vomir. Je m'accroupi à sa hauteur.

Moi : Tu rentres avec moi ou t'en n'as pas la force ?
Nathaniel : Qu'est ce que tu crois ? Je viens avec toi !
Moi : Merci Nathichou !

Je l'embrassa sur la joue avant de me lever.

Nathaniel : Nath, Superman, Nathichou, j'en ai de la chance moi !
Moi : Et ouai ! Mais bon, dépêche toi si tu veux pas que j't'appelles "le sensible".

Je regarda mon téléphone, encore un appel de Bryan. Et puis quoi encore ? 

Point de vue externe, à Phoenix

Ça faisait une bonne heure que le garçon de 21 ans tournait en rond.

Bryan -en rage- : J'y crois pas, j'y crois pas, j'y crois pas....
Tiana : Mon Bryan arrête de tourner en rond comme ça tu me donnes mal à la tête...Qu'est ce que t'as ?
Bryan -lui lançant un regard noir- : Toi ! De un : Personne à part ma soeur ne peut m'appeler "Mon Bryan". De deux : Ne me donnes pas d'ordre !
Et de trois : TU SAIS TRÈS BIEN POURQUOI JE SUIS ÉNERVÉ !
Tiana : Ecoute, je suis désolé Bryan mais si je ne t'avais pas menti tu n'aurais jamais fait le
concert !
Bryan -posant son front dans ses mains- : Tu m'as dit que si je faisais en sorte que Kate "me foute la paix", tu me dirai dans quel pays elle est.....
Tiana : Tu devais faire le concert !
Bryan : Non, non, non ! Ne choisis pas le concert comme excuse ! Si c'était pour le concert, tu m'aurais simplement dit <<Si tu ne fais pas le concert, je ne te dis pas où elle est !>>. Là, tu voulais que je la blesse ! Là elle a pleuré....PLEURÉ ! J'ai.....j'ai fait pleurer ma Kate....

Tiana se sentait mal de ce qu'elle avait fait...sa poitrine commença à la brûler...

Tiana : Je suis désolée...
Bryan : Ta gueule ! Juste...ferme ta gueule ! Maintenant elle ne répond plus quand je l'appelle !

Le jeune homme balança le téléphone par-terre devant les yeux presque humides de sa manager. Elle savait que ça allait le blesser mais jamais à ce point. Elle voulait faire mal à Kate, elle a fait du mal aux deux. Elle regrettait amèrement ce qu'elle avait fait, elle comprenait maintenant la relation qu'entretenait Bryan avec sa soeur.
Elle essaya de trouver une solution.

Tiana : Bryan ?
Bryan -en larmes- : Quoi ?
Tiana : Tu m'as bien dit que vous aviez une petite soeur à l'hopital que Kate allait voir toute les semaines ?
Bryan -essuyant ses larmes- : Oui et alors ?
Tiana : Peut être que l'hopital peut te dire où est ce qu'elle est, peut etre leur en a t elle parlé....

Bryan se précipita vers son téléphone et appela l'hopital dans lequel Azumi était.

Bryan : Hello, it's Bryan OWEN. I would like to talk to you of Kate OWEN.
Réceptionniste : Kate OWEN ?
Bryan : Yes, the Azumi's sister.
Réceptionniste : Azumi OWEN ?
Bryan : YES !
Réceptionniste : Sorry but Azumi OWEN is no longer in our hospital.
Bryan -choqué- : Sorry ?
Réceptionniste : The patient Azumi OWEN was transferred to another hospital. In another country.
Bryan : Wh...When !? And where ?
Réceptionniste : Sorry sir but I don't have the upright to disclose an informations about one patient.
Bryan : But I'm her brother !
Réceptionniste : Sorry sir, goodbye.
Bryan : But....

La femme de l'hôpital raccrocha. Le bel homme lança à nouveau son téléphone par terre.
Il tomba au sol et cacha son visage avec ses mains. Il en avait assez....plus qu'assez...

Tiana : Alors ?
Bryan -à bout de souffle- : Elle a quitté le pays....
Tiana : Oui bah merci je suis au courant !
Bryan : Azumi a quitté le pays...
Tiana : Quoi !?
Bryan : Elle a été transférée dans un autre hôpital.....dans un autre pays.....
Tiana : Donc je suppose que Kate est partit dans le même pays...
Bryan -en larmes et exténué- : Je.....j'en ai marre des concerts je....je veux retrouver mes s½urs...

Tiana était très émue. La première fois qu'elle voyait son artiste pleurer. Lui qui était d'habitude toujours souriant. Soudain, elle eut un flash.

Tiana : La lettre...
Bryan -relevant la tête- : Quel lettre ?
Tiana : La première fois, au téléphone, Kate a parlé d'une lettre...Je m'en rappelle !
Bryan : Quoi ?
Tiana : La lettre t'était destinée...quand j'ai vu qu'elle venait de Kate je l'ai caché...
Bryan -en colère- : TU QUOI !?
Tiana : Je crois que je ne l'ai pas encore jeté, viens !

La jeune femme partit dans le couloir, se dirigea vers son bureau suivi de près par Bryan, ne cessant de l'insulter sous le regard des autres artistes dans leurs loges respectives.

Point de vue de Kate

Nous sortîmes de l'ascenseur lorsque je vis Eloïse taper comme une folle à ma porte.

Moi : Hé HO ! T'es raciste des portes ou ça se passe comment !?
Eloïse -se retournant- : Kate !
Nathaniel : Eloïse qu'est ce que tu fais là ?
Eloïse : Bonjour Nathaniel -regardant partout- Elisia n'est pas avec vous ?

Là vrai question, c'est comment tu sais où j'habite.

Moi : Non pourquoi ?
Eloïse : Lorsqu'elle est partit de chez moi, je voyais bien qu'elle était mal, du coup je lui ai demandé de m'envoyer un message quand elle serait chez elle et chez toi...
Moi -perdant patience- : Et !?
Eloïse : Arrivée devant chez elle, elle m'envoie un message. Et arrivée devant chez toi, elle m'envoie ça !

Elle me montra l'écran de son téléphone. Je lu le message à voix haute.

Moi : C'est bon, je suis arrivée devant chez Kate. Je vais rentrer...ça va être la dernière fois. Dommage -ralentissant la lecture- j'aimais bien...son....appartement...Quoi ? -reprenant- À cause de moi, tout est à cause de moi..... Attend c'est quoi ces conneries !?
Eloïse -paniquée- : Mais justement j'en sais rien ! Je suis allée chez elle, personne n'a ouvert même pas sa mère et là, rien !

Elle était au bord des larmes. Nathaniel et moi échangions des regards paniqués. J'ouvris en panique la porte, dites moi qu'elle est là.

Moi : Elisia...ELISIA !

Nathaniel, Eloïse et moi vérifiâmes toute les pièces....elle n'est pas là. Soudain, j'eu une idée qui me glaça le sang. Je couru vers mon buffet et ouvris le tiroir en priant. Il est plus là.....

Moi : IL EST PLUS LÀ !

Les autres accoururent vers moi.

Nathaniel : Qui est plus là !
Moi -en larmes- : MON FLINGUE, PUTAIN !
Nathaniel et Eloïse -paniqués- : T'avais un flingue !?
Moi -pleurant : Oui et il est plus là !

J'allais fermer violemment le tiroir quand je vis un petit morceau de papier jaune. Je le saisis en tremblant.

Moi -tremblante- : Ma très chère Kate, tu as étais la meilleure amie que je n'ai jamais eu. J'avais déjà vu cette arme, tu dois l'utiliser pour te protéger sûrement. Ce que je vais faire...oui...je vais te protéger....Te protéger de moi....Je retourne là où tout a commencé...une dernière fois...Merci Kate...

Je déchira le post-it d'un coup et me retourna, en larmes, vers les autres. Nathaniel serrait les poings et Éloïse commençait à perdre son souffle.

Moi -à bout de nerf- : Eloïse tu la connais plus que nous. C'est où "Là où tout à commencer" ?
Eloïse : J'en...j'en sais rien....
Moi : PUTAIN ELOISE !
Eloïse : MAIS J'EN SAIS RIEN !
Nathaniel : Who ! Les filles ! Calmez vous bon sang !
Moi : Putain...

Là où tout a commencé ça peu être tout et n'importe quoi !
Les coups de Pascal, l'harcèlement scolaire, la disparition de son père....

Moi -tentant de rester calme- : Eloïse, elle l'a rencontré où Pascal ?
Eloïse : Pascal ? Mais pourquoi tu veux que....
Moi -perdant patience- : Ta gueule et réponds !
Eloïse : Je...heum.....-se concentrant- Chez elle.....Oui chez elle ! Sa mère l'attendait pour lui présenter son nouveau manager !
Moi : Okay, le lycée est encore ouvert même s'il y a plus cours. Alles voir si elle y est et moi j'vais voir chez elle.
Nathaniel : Kate, je sais à quoi tu penses. Et je ne veux pas que tu y ailles, si ça se trouve Pascal y est encore !
Moi : Vas te faire foutre Nathaniel !

Il me regarda choqué, cette fois, ce n'est plus des larmes de colère que j'ai mais des larmes de panique et de tristesse. J'ai peur....peur pour Elisia...

Moi : Vous faites ce que je vous dis et vous vous la fermez, compris ?

Ils acquiescèrent d'un signe de tête. On sortit de l'appartement. Ils partirent vers le lycée et moi vers chez elle. Faites que ce que je pense ne soit pas le cas.

Point de vue d'Elisia

Je suis enfin arrivée. C'est dingue ce que je suis lente. Là où tout à commencé....sur le toit....La vie est un cercle vicieux. Je vais mettre fin à ma torture, là où elle a commencé...

Point de vue externe, chez Elisia

Kate -frappant à la porte- : Y'a quelqu'un !? He Ho ! -mettant un coup de pied dans la porte- PUTAIN !

Elle le savait, il s'est passé quelque chose ici. Elle appuya sur la poignée et la porte s'ouvrit. Elle n'était pas fermée. Sur le coup, la brune se sentie un peu idiote. Elle entra et eu un visage horrifié, la vue du sang et par-dessus tout du corps de la mère inanimée au sol la pétrifiée. C'est étrange, pensa t-elle. Elle une assassin, ayant vu et fait des centaines de victimes, était paralysée à la vu de sang et d'un potentielle cadavre. C'est impensable ! Pourtant, là, c'est différent. Ce n'est pas elle qui tuait des coupables mais, fois, elle était témoin d'un corps inanimé d'une innocente sûrement morte par les coups d'une enflure de première catégorie. À ce moment même, le mot "tuer" pris un tout autre sens pour Kate. Elle saisit son téléphone et appela le numéro des urgences.

Annonce : Nous vous informons que la ligne est actuellement occupée, nous allons vous redirigez...
Kate -raccrochant- : Ta mère en enfer !

Il ne lui fallut pas une seconde de plus pour trouver une nouvelle idée.

??? : Oui allô ?
Kate : Nina t'es où ?
Nina : Je suis dans un train à BALIST.....
Kate : J'vais reformuler ma phrase. T'es où par rapport à chez moi ?
Nina : 5 minutes en courant pourquoi ?
Kate : Aucun bah j'te préviens t'à intérêt à speeder pour venir à l'adresse que j't'envoie !

Elle raccrocha et envoya l'adresse à son ami.
Elle prit un couteau qui était par-terre près de l'entrée et ce mit à crier le nom de son amie dans toute la maison. Après avoir fait le tour de la maison, elle réalisa que personne d'autre n'était dans la maison. Elle était désormais dans la chambre d'Elisia, elle vit un livre par-terre, à côté de taches de sang, elle le saisit et le lit. Au fur et à mesure de la lecture, son visage s'assombrit. Elle saisit son téléphone et appela son employeur.

Ryo : Allô Kate. Qu'est ce qu'il y a ?
Kate : Tayson HOLO, tu me trouves ce nom et tu m'informes !

Elle raccrocha puis continua sa lecture jusqu'à ce qu'un grand bruit de porte vienne la déranger.

??? : Y'a quelqu'un ? OH PUTAIN !

Kate se précipita pour descendre l'escalier où elle trouva une Nina chamboulée, prenant le pouls de la femme.

Nina : C'est toi qui a fait ça !?
Kate : Bah oui, bien sûr ! J't'ai appelé pour que tu soignes une de mes victimes ! T'es conne ou quoi !?
Nina : Dé....désolée !
Kate : Elle est en vie ou pas ?
Nina : Oui.
Kate : Tu t'occupes d'elle, tu appelles les ambulances s'ils daignent TE répondre, moi j'y vais.
Nina : Tu vas où !?
Kate : Au lycée !
Nina -dans l'incompréhension- : Quoi  !? Mais.......on est mercredi aprèm.....t'as pas cours.....si ?

Kate courrait à une vitesse hallucinante, ça en était presque incroyable. Au bout de 3 minutes, elle était arrivée. Elle courut vers le toit et vit Nathaniel et Eloïse tenter d'ouvrir la porte.

Kate -froide- : Poussez vous !

Ils s'exécutèrent sans broncher sous le coups de la peur. Elle sortit une carte et ouvrit la porte en moins de deux secondes. Ils marchèrent sur le toit en se poussant mutuellement.

??? : Kate ?

Ils se retournèrent brutalement.

Kate et Eloïse : ELISIA !

Chapitre 16
Kate se précipita sur Elisia est récupéra son arme. À la surprise général Elisia éclata de rire.

Eloïse : E....Elisia...

Elle était encore dans son fou rire digne des plus grands psychopathes de film Disney.

Elisia -en train de rire- : Vous êtes cruels de ne pas me laisser crever ! Vous voulez avoir bonne consciences c'est ça ? Mais bordel, je ne sers à rien, laissez moi crever ! Laissez mon sang s'étendre sur la moitié du toit, après tout, c'est ce que vous voulez aussi ! Pas vrai ? Allez y dites le !
Eloïse : Elisia c'est horriblement faux ce que tu dis ! Moi je ne veux pas que tu meurs !
Tu es la seule véritable amie que j'ai dans le monde du spectacle, t'as pas le droit de nous laisser seuls moi et tout les autres !
Elisia : C'est cela oui, si vous voulez, venez avec moi, moi je veux crever.
Kate -lui mettant une claque- : Idiote !
Elisia -choquée- : Je te demande pardon ?
Kate -en larmes- : Tu n'es qu'une pauvre sotte Elisia, d'où te permets tu de juger que les gens ne tiennent pas à toi. Regarde les yeux moi ! Est-ce les yeux d'une personne heureuse de te voir disparaître ?
Et puis veux tu donner raison aux autres crétins ! Je comprend parfaitement ce que tu ressens, tu te sens seule, sans échappatoire. MAIS BORDEL ! Comment veut tu que tout s'arrête si tu ne fais rien pour, reprend un peu ta vie en main au lieu de geindre ! Ta mère n'est pas morte !
Elisia : Quoi .....?
Kate : Tu imagines la peine de ta mère quand elle apprendra que tu t'es tué à cause d'elle !?
Elisia : Je....tant que je serais en vie.....vous risquez la votre....
Nathaniel : On va se débarrasser de Pascal...
Elisia -se levant brusquement- : MAIS PUTAIN IL EST INTOUCHABLE !
Kate : Pas si intouchable que ça ! Tu m'as fait assez confiance pour me raconter ce que tu vivais, fait moi assez confiance pour t'en sortir
Elisia : Je.....

Elle tremblait et se dirigea sur le bord du toit, elle s'assit sur la rambarde et tremblait, la tête enfouit dans les mains. Elle ne comprenait plus rien. Son envie de suicide se mélanger à son envie de vivre. Sa peur de perdre sa mère se mélangé avec les mots de Kate. Elle se sentit vaciller et tomba en arrière. Kate la rattrapa de justesse. Elle la tenait par le bras mais avait du mal à la remonter. Nathaniel allait l'aider mais Kate sentit quelqu'un tirer le corps d'Elisia. Avec tellement de force qu'elle fut forcé à lâcher. Elle allait hurlé quand elle vit des bras faire rentrer Elisia dans la salle d'en dessous. Nathaniel et Eloïse échangèrent un regard interloqué et se dirigèrent vers les escaliers pour descendre. Kate, elle, agrippa ses mains à la rambarde et fit balancer son corps pour rentrer par la fenêtre dans la salle. Quand elle vit les héros, elle fut surprise.

Kate : Ca....Castiel.....Lysandre...

Castiel qui avait la jeune évanouie dans les bras, la passa à Lysandre. Kate tremblait, les garçons avaient un regard inquiet autant envers Elisia qu'envers Kate. Ils ne faisaient même pas attention à Nathaniel et Eloïse qui venait d'arriver par la porte. Kate était en train de trembler et regarda Castiel droit dans les yeux....

Kate : Merci.....Oh Mon Dieu merci....

Castiel s'approcha d'elle et la pris dans ses bras. Ses longs cheveux noirs tombaient sur son dos, les longs tours qu'elle avait fait pour les raccourcir s'étaient défait mais elle s'en fichait, la peur qu'elle ressentait s'évaporée peu à peu.
Chapitre 16
Trois semaines plus tard. Point de vue d'Elisia

Kate m'a donné rendez vous au CDI, c'est étrange aujourd'hui tout le monde est extrêmement généreux avec moi, qu'est ce qu'il se passe. J'arriva dix minutes en retard au CDI, Kate va encore m'en vouloir. Étrangement, elle n'est pas là. Ce n'est pas son genre d'être en retard.

??? : EH ! ELISIA !

Je me retourna et merde ! C'est Capucine.

Moi : Qu'est ce que tu veux Capucine ?
Capucine : Je voulais m'excuser.
Moi -choquée- : TU QUOI ?
Capucine : En fait....on voudrait tous s'excuser. On savait pas ce que tu vivais, si on avait su....on aurait pu t'aider. Mais à la place on t'a enfoncé, exécré, méprisé....Je....Je suis sincèrement désolée...
Moi -dans l'incompréhension- : De...tu...quoi ?
Capucine -sourire malicieux- : Toi tu n'as pas lu le journal ! Je te laisse, tu as rendez vous avec Kate non ? À plus battante !

Battante ? Pourquoi ? Quand Capucine partit je vis Peggy et Kate entrer dans le CDI avec un grand sourire. Depuis quand elles sont amies, elles ?

Kate : La directrice m'a donné l'autorisation. Prépare tes larmes, je t'emmène quelque part !
Moi -paniquée- : Tu m'emmènes pas voir Pascal en prison !?

Kate éclata de rire

Kate : Non idiote ! La dernière fois je blaguais quand je disais ça !
Bon, Peggy, donne lui une édition du journal puis on y va.
Peggy -me tendant un exemplaire- : Okay. Bon à plus !
Kate et moi : À plus !

Peggy partit, nous laissant seules.

Moi -paniquée- : Heu Kate ?
Kate -s'inclinant- : Désolée !
Moi : Quoi ? Mais vous êtes tous bizarre aujourd'hui c'est dingue !
Kate : J'espère que tu ne m'en voudras pas !
Moi : Pourquoi t'en voudrais je ?
Kate : Lis le journal !

Je me mis à lire quand....non......c'est pas vrai....C'EST DES MORCEAUX DE MON JOURNAL INTIME ! Je scruta les pages, ce ne sont que des morceaux de mon journal intime. Morceaux où je parle de mon harcèlement scolaire, de mes peurs, de la disparition de papa et des coups de Pascal...Comment Peggy a eu ça ? Quand j'eu tout fini, mes yeux bloquèrent sur les dernières lignes. <<Elisia est une personne forte. Je suis tout à fait honnête quand je vous dis que je l'admire. Cette fille m'a changé et elle vous changera aussi.>> Edité par Peggy LEWIS et écrit pas Kate OWEN. Je leva les yeux vers Kate....je crois que je vais pleurer....j'y crois pas.....J'eu à peine le temps de dire ce que je ressentais que Kate me tira par le bras. Ce sourire.....je ne l'ai jamais vu autant sourire.

Moi -essoufflée- : Kate...dans 30 minutes, j'ai rendez vous avec mon psychologue, j'ai pas le
temps !
Kate : Oh que si, crois moi t'as le temps !

Après avoir couru quelques minutes, on se retrouva devant chez moi.

Moi -hésitante- : Heu...Kate ? Qu'est ce qu'on fiche devant chez moi.
Kate : Ferme là un peu et viens...

Kate me prit la main et me fit entrer dans la maison, en entrant je vis ma mère nous attendre, debout, dans l'entrée. Sa tête est bandée, je ne peux m'empêcher de me dire que c'est à cause de moi.

Maman : Ma chérie, je crois qu'on va pouvoir recommencé comme avant.
Moi -dans l'incompréhension- : Quoi ?

Un homme sortit de la cuisine et prit maman contre lui.....dites moi que c'est une blague...dites moi que c'est une blague....

Moi -pleurant- : Pa......papa....
Papa : Bonjour ma chérie...
Kate -sautillante- : Bon, je crois que vous avez besoin de rester entre vous, moi je vous laisse. J'ai raté beaucoup de cours et je dois les rattraper. J'ai hâte que la deuxième partie des examens arrivent !

Kate partit de la maison en sautillant comme une petite fille trop fière du cadeau qu'elle venait de faire...J'y....j'y crois pas...elle a pas....

Moi : Papa....mais tu....enfin....tu étais partis...je veux dire comment tu....
Papa : C'est ton amie Kate qui m'a retrouvé et qui m'a tout raconté...
Maman : J'étais la première surprise mais, ton père est bel et bien là.
Papa : Kate m'a ramené ici et on a parlé elle et nous.
Maman : On a compris que tu était une fille très forte et courageuse.
Papa : On s'est dit que maintenant c'était à nous de l'être.
Moi : Je......mais......

Soudain, mon téléphone vibra, j'y jeta un rapide coup d'½il.

De Kate

Comment j'ai retrouvé ton père et pourquoi est il partit ? Longue, très longue histoire !
Je te raconterais tout devant un bon chocolat chaud demain, chez moi, à 10H00.
Pour l'instant arrête de poser des questions et profite ! ;)

En lisant son message, les larmes me montèrent vraiment aux yeux....Mes parents s'échangèrent un regard complice et attendrissant et se dirigèrent vers moi pour me prendre de leurs bras.
Kate...jusqu'à où s'étend ta générosité ?

Papa : Ma chérie, tu as de la chance...
Maman : ....d'avoir une amie comme Kate...
Moi -m'agrippant à leurs tee-shirt- : Je sais....

Ta bonté a t-elle au moins une fin ?
Tags : Elisia, Eloïse, Pascal, Maeva, Nina, Ryo, Tayson, Kate OWEN ♥, Lysandre, Castiel, Nathaniel, Danger, Arme, suicide, excuse, Capucine, Peggy, amour, amitié, générosité, Linda, Azumi, Bryan, Tiana, mensonge, joie
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#Posté le dimanche 16 avril 2017 15:10

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