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Fictionneuse-Amoursucre

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7 Deadly Sins Nanatsu no Taizai OP 1-"Netsujou no Spectrum"

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“ Ça fait des mois que je veux poster une image de Ryo mais j'ai la flemme... ” - dimanche 15 avril 2018 05:33
3 kiffs

Création : 12/02/2017 à 18:56 Mise à jour : 15/04/2018 à 09:10

Retour au blog de Fictionneuse-Amoursucre

Chapitre 6

Fin du chapitre 5
 
Elle retourna s'allonger sur son lit et fixa le plafond avec un air des plus sérieux.

Ayano : Gabrielle, je peux te poser une question ?
Moi -perturbée- : Heu...oui, vas-y...
Ayano : Pourquoi t'es ici ?

Je sentis mon c½ur louper un battement.
Point de vue de Castiel

Mon beauceron qui ne cesse de brailler commence à me les briser.

Moi : DÉMON FERME LÀ !

Je lui balança un coussin à la figure ce qui le fit grogner.
J'étais étalé sur mon lit en train de penser à......elle...
Kate, m'as-tu jeté un sort ? Je n'ai pas l'habitude de m'inquiéter pour les autres et pourtant, alors qu'on se connait depuis seulement un mois et demi, pour toi je le fais. Si je revois Ambre demain, je jure que je la tue !
Flashback, il y a une semaine

Je vois l'autre idiote d'Ambre et ses chiens observer la pile tremblante de briques disposée au dessus du porche. Qu'est ce qu'elle trafique ? Je vois Lysandre avec un air inquiet, c'est vrai qu'il a toujours été contre le fait que quelque chose d'aussi dangereux soit au dessus des élèves. Mais la directrice nous avait dit que le tas de briques disparaîtrait bientôt. Je vis les trois cruches s'approcher d'un ballon de football, la moitié des élèves de l'école les regardent, amusés, comme s'ils savaient ce qu'elles allaient faire. Je vois qu'Ambre va tirer dans le ballon, visant la pile de briques. Quel est son but ? Je regarde en dessous et vois Elisia, la petite mannequin tourmentée, relisant ses cours. Ne me dites pas que....Ambre n'est pas cruelle au point de....J'observais les autres, leurs sourires devenant de plus en plus sadiques. En une fraction de seconde, je n'eu à peine le temps de prononcer une insulte que tout les élèves avaient le visage décomposé. Un grand fracas se fit entendre lorsque les deux briques au dessus de la pile tombèrent au sol ne manquant pas la tête de quelqu'un. Le sang se rependait au sol...je n'y croyais pas.....Ambre avait délibérément balancer le ballon de foot sur les briques pour en faire tomber quelques unes sur la tête d'Elisia. Soudain, en observant un peu partout, je vis la jeune fille à la chevelure flamboyante étalée par-terre....à quelques mètres de la marre de sang...comme si on l'avait poussé.... Ce n'est donc pas à elle qu'appartient ce sang !? Soudain, le corps presque sans vie sous les briques se leva et balaya son crane de la main. Elle regarda sa main...ensanglantée... Celle qui s'était prise l'attaque d'Ambre sur la tête...c'était Kate.

Une observatrice de la scène -apeurée- : Oh...merde.....c'est Kate qui s'est prise les briques...

Celle qui avait dit ça, est une des téléspectatrice qui, il y a à peine une minute, avait un sourire sadique et impatient collait au visage. Une des téléspectatrice qui détestait Elisia et qui avait hâte que cette jeune mannequin se fasse écraser la cervelle. Kate se releva, elle était couverte de son propre sang et pourtant, elle se relevait comme si de rien était. D'où tire t-elle toute cette force ?

Kate : Comment ça ? Tu veux dire que si je n'avais pas poussé Elisia et qu'elle s'était prise les briques ça aurait été plus drôle ?

La jeune terrifiée ne disait rien pendant que Kate se dirigeait vers Elisia, qui avait un visage à la fois admiratif et paniqué. Kate lui tendit sa main en sang, qu'Elisia eu peine à saisir. Une fois qu'Elisia fut mise debout sous le regard tétanisé de tout les élèves, y comprit celui de moi et Lysandre, elle fixa Kate qui avait du mal à tenir debout. Elle approcha sa main droite du visage de la blessée et la posa sur son crane, là où étaient tombés les briques.

Elisia -en larmes- : Pour...pourquoi t'as fait ça..... ?

Kate saisit la main d'Elisia qui était sur sa tête et la rabaissa. De là où j'étais avec Lys', je voyais bien les expressions sur le visage de Kate.

Kate -tremblante- : Sur le toit....je t'avais promis de faire en sorte que tu ne sois plus blessée
-souriant- je tiens bien ma promesse pas vrai ?

Avant qu'Elisia ne puisse répondre, Kate s'écroula au sol perdant bien trop de sang. Nathaniel, malgré que je le hais, vint la porter et me demanda d'appeler la directrice. Si un jour on m'avait dit que j'allais lui obéir, j'aurais éclater de rire. Mais étant donné que s'était un des seuls à ne pas avoir eu un sourire espérant qu'Elisia se prenne les briques sur la tête, je l'écouta. Même si je le hais, là, il s'agit de Kate. Avant de partir je sentis Eloïse, qui venait d'arriver alertée par le bruit des larmes de panique, prendre Elisia dans les bras. Celle ci, ne cessant de pleurer. Je vis également Ambre et ses chiens, ne semblant pas vraiment s'en vouloir. Ces trois là sont vraiment des salopes ! Elles et la moitié de ce lycée à la con ! Après avoir alerté la directrice qui avait fait une tête de morte quand je lui annonça la gravité de la situation, on se dirigea tout les deux dans la cour, là où tout le monde était encore présent. La directrice se dirigea affolée vers le corps évanouie de la belle sauveuse. Le blondinet nous servant de délégué l'informa qu'il venait d'appeler le samu, Shermansky le félicita pour ça. J'ignore pourquoi mais toute la rage que j'avais envers Ambre il y a cinq minutes s'est transféré sur son frère. Le voir serrer Kate qui est dans ses bras me met dans une rage incontrôlée, j'avais les poings serrés qui se détendirent lorsque Lysandre et Rosalya posèrent chacun une main rassurante sur chacune de mes épaules. Au bout de quelques instants, lorsque nous entendîmes la sirène de l'ambulance s'approcher, Rosalya fit glisser sa main, qui était sur mon épaule, le long de mon bras et me le serra en posant sa tête sur mon épaule désormais libre. Je la sentis pleurer. Même si je n'ai jamais été vraiment proche d'elle, je passa une main autour de sa taille et la serra pour la rassurer. Je sais que malgré le peu de temps qu'elles ont passé ensemble, Rosalya tient beaucoup à Kate.

Back in reality

Je commença à frapper de plus en plus fort mon lit avec mes poings. Putain Kate ! Je t'admire et je te déteste à la fois ! Je t'admire pour ton courage et ta force qui t'a fait te relever. Et je te déteste parce que tu me fais ressentir des émotions que je ne connaissais pas et que je ne comprends pas. Tu es dans notre lycée depuis un mois et demi alors, moi qui suis censé être le rebelle froid, comment as-tu fait pour que je t'apprécie autant en si peu de temps ? Et pourquoi veux-tu à ce point défendre cette petite rouge ? Et...cette phrase... :
<<Sur le toit....je t'avais promis de faire en sorte que tu ne sois plus blessée...Je tiens bien ma promesse pas vrai ?>>
Oui, tu tiens bien tes promesses Kate. Mais cette phrase signifie t-elle que tu serais prête à mourir pour protéger Elisia ? La dernière fois, je t'ai bien vu emmener Elisia sur le toit, quand vous étiez revenues, Elisia était dans tes bras en larmes pendant que tu la rassurais. C'était la première fois que la petite mannequin montrait ses sentiments...et maintenant cette phrase....MAIS C'ÉTAIT QUOI VOTRE FOUTUE DISCUSSION SUR CE PUTAIN DE TOIT !?

Point de vue externe, chez Elisia

Maeva -frappant à la porte- : Ma chérie, ça fait une semaine que tu es enfermée dans ta chambre. Tu ne vas plus en cours, n'y à tes shootings photo. Je m'inquiète tu sais.

Elisia, affalée sur son lit en pleurent, ne répondit pas à sa mère derrière la porte de sa chambre.

Maeva : Ecoute ma chérie, je sais qu'autrefois tu te confiais à ton père mais....il est parti et...peut être que je pourrais être la personne à qui tu te confis, tu sais....je comprends ce que tu...
Elisa -à travers la porte- : TA GUEULE !

Maeva fut tétanisée par la violence par laquelle sa fille venait de lui répondre. Depuis un an avant le départ de son mari, elle et Elisia s'étaient beaucoup éloignées et ça la terrifiée. Elle avait peur de perdre à tout jamais la relation qu'elle entretenait autrefois avec sa fille. Maeva posa une main sur la porte fermée.

Maeva -triste- : S'il te plait Elisia....
Elisia : DEGAGE !
Maeva -appuyant son front sur la porte- : Je t'en pris...
Elisia : C'EST DE TA FAUTE SI PAPA EST PARTI ! C'EST DE TA FAUTE SI JE SUIS TOUT LE TEMPS TRISTE ! C'EST DE TA FAUTE SI MA VIE PART EN VRILLE !

Maeva s'écarta de la porte et porta sa main à sa poitrine. Les mots de sa fille la rendait vraiment malheureuse.

Maeva : Bon bin, ma chérie, je suis désolée mais....je dois aller voir mon employeur....et....
Elisia : C'est ça ! Te dépêche pas pour rentrer !
Maeva -Se dirigeant vers les escaliers pour descendre- : Pascal m'a appelé, il voulait te voir...je lui ai laissé les clés...

Elisia se figea. Pascal voulait la voir. Elle voulu crier à sa mère de rester mais, elle entendit la porte claquer. Elle est déjà partie. Elisia enfouit sa tête dans son oreiller et attendit, elle souhaitait que Pascal ne vienne pas mais trop tard, elle entendit la porte d'entrée s'ouvrir. Elle souhaitait du fond du c½ur que se soit sa mère qui ait oublié quelque chose. Des pas s'approchèrent de plus en plus puis quelqu'un frappa à la porte de sa chambre.

??? -chantonnant- : Elisia c'est moi ! Ton manager adoré !

<<Et merde !>> pensa t-elle. Elle tenta de faire la morte en ne disant rien. Mais l'homme derrière la porte savait qu'elle était là.

??? -chantonnant- : Elisia ! Tu es là ! Viens m'ouvrir !

Le vingtenaire derrière la porte avait un grand sourire qui partit très vite pour laisser place à un visage en colère.

??? : Ecoute moi bien ma belle, je ne veux pas te faire de mal. Je veux juste T'ARRACHER LES YEUX ET TE FAIRE CRACHER TON SANG ESPÈCE DE PETITE PUTE !

Elisia ne put s'empêcher de crier, ce qui fit apparaître un sourire démoniaque sur le visage de son manager.

??? : Tu sais ma toute belle, j'aurais pris énormément de plaisir à enlever ta porte en retirant les vis qui la retenaient une par une mais j'ai trouvé le double des clés de ta chambre. C'est fou
hein !?

Elisia était de nouveau tétanisée, cette fois, il n'y aura pas Kate pour la sauver.

Elisia -tremblante- : Pascal...laisse moi tranquille...
Pascal -rentrant la clé dans la serrure- : Te laisser tranquille ? -la tournant- Pourquoi ? -ouvrant la porte- Surtout que tu m'as manqué.

Les yeux d'Elisia étaient embués de larmes, elle était collée au mur sans échappatoire. Pascal s'approcha dangereusement d'elle avant de se retrouver collé à elle. Il y avait une lueur menaçante dans ses yeux, une lueur qui fit paniquer de plus bel la jeune mannequin.

Pascal : Espèce....espèce de.....ESPÈCE DE PETITE TRAÎNÉE !

Il enroula sa main autour du cou de la jeune lycéenne et la souleva. La demoiselle à la chevelure rougeâtre tenta de repousser son agresseur mais celui ci avait beaucoup de force comparé à elle qui était un poids à plume.

Pascal : Tu es trop mignonne ! MAIS PAS ASSEZ POUR M'ATTENDRIR !

Le manager de la mannequin lui lança son poing dans la figure en lâchant l'emprise qu'il avait sur son cou. Elisia s'écrasa au sol en n'oubliant pas de se fracasser le crane contre le coin de sa table de chevet. Le sang commença à couler le long de son front. La jeune fille sentait une douleur insoutenable sur sa tête. Elle avait mal, très mal. Mais pas seulement physiquement, elle avait mal mentalement. Elle eu peine à ouvrir les yeux et aurait préféré ne jamais les ouvrir vu que sa première vision fut Pascal s'approcher avec un ciseau en main.
Il approcha le ciseau de son visage et le ramena d'un geste brusque à lui. Laissant une longue, douloureuse et sanglante coupure sur la joue de la belle femme.

Elisia -pleurant- : A-arrête....
Pascal : Arrêter ? Tu déconnes j'espère ?

Pascal saisit le poignet d'Elisia et lui fit une immense coupure avec son ciseau ce qui fit hurler la jeune femme.

Pascal : Une semaine ! DEPUIS UNE SEMAINE ! Depuis une semaine tu as refusé tout tes contrats, tu es restée enfermer dans ta chambre sans faire ne serait-ce qu'UN shooting photo. Tu n'imagines pas les milliers d'euro que tu m'as fait perdre ESPÈCE DE GARCE !

L'homme attrapa les cheveux de sa victime et balança sa tête contre le mur, ce qui la fit gémir de douleur.

Elisia -essayant de se justifier- : J'ai...j'ai eu des problèmes....
Pascal : Des problèmes ? DES PROBLÈMES !? J'EN AI RIEN À FOUTRE DE TES PROBLÈMES ! CE QUI M'INTÉRESSE S'EST MON COMPTE EN BANQUE QUE TU ARRÊTES DE REMPLIR !

Il lui remit un coup de poing dans le visage. Elle regarda par-terre et vit quelques gouttes de sang tomber au sol. Elle leva ses mains pour les poser sur la table de chevet où elle prit appui pour se relever. Ses jambes tremblaient et sa tête tournait. Pascal se releva également pour lui infliger un nouveau coup de poing mais au moment de la frapper, on entendit un bruit de porte qui s'ouvrait. Pascal alors, prit un visage affolé devant Elisia, tremblante, qui ne comprenait pas ce qu'il se passait.

Pascal : T'IMAGINE À QUEL POINT TU M'AS FAIT PEUR !?
Elisia -confuse- : Hein ?
Pascal -la prenant dans ses bras-: NE ME REFAIT PLUS JAMAIS UNE PEUR PAREILLE !

Maeva qui venait de rentrer car elle avait oublié quelque chose, fut alertée par les cris. Elle se précipita vers la chambre de sa fille et apporta ses mains à sa bouche ouverte quand elle vit sa fille en sang dans les bras de son manager.

Maeva -commençant à avoir les larmes aux yeux- : Que-que....
Pascal : Je suis désolé Maeva...
Maeva -paniquée- : MAIS QU'EST CE QU'IL S'EST PASSÉ !?
Pascal : Quand je suis arrivé, la porte de sa chambre était fermé. J'ai donc visité dans toute la maison pour trouver un double. Quand je suis rentré, elle se frappait la tête contre les meubles et se mutilait avec son ciseau.
Elisia -reprenant peu à peu ses esprits- : Qu....qu'est ce que tu racontes ?
Pascal -faussement paniqué- : Ne lui mens pas Elisia ! Maeva est ta mère ! Si je n'étais pas arrivé à temps je n'ose imaginer ce que tu aurais pu faire.

Maeva commença sérieusement à pleurer. Elle ne pouvait s'imaginer vivre sans sa fille. Elle couru vers Elisia et prit son visage en sang dans ses mains. Elle regardait les yeux humides de sa fille et la prit dans ses bras, essayant de se pas toucher ses blessures.

Pascal : Heureusement que je suis arrivé à temps !
Maeva : Je ne sais comment te remercier Pascal ! En plus d'être un manager incroyable, tu es un très bon ami.
Pascal -carressant les cheveux d'Elisia- : Je suis là pour ça, j'y tiens beaucoup à ma petite Elisia.
Elisia : Menteur.....
Maeva -la regardant dans les yeux- : Qu'as tu dis ma chérie ?
Elisia : MENTEUR !

La belle rousse s'écarta violemment de sa mère et de son agresseur. Elle avait du mal à tenir debout mais préféré ça plutôt que de rester près de lui.

Maeva -paniquée- : Mais...mais enfin ma chérie....il...il t'a presque sauvé...

Elisia voulait dire que non mais aucun son ne sortait de sa bouche. Comme d'habitude, dès qu'elle voulait en parler, elle devenait muette.

Pascal : Je crois qu'elle a dû mal à comprendre elle même ce qu'elle vient de faire.
Maeva : Tu...tu crois ?
Pascal : Oui, une sorte de folie inconsciente.
Elisia : JE NE SUIS PAS FOLLE !
Maeva -s'approchant d'elle- : Ma chérie pourquoi tu as fait ça ? Est-ce....est-ce de ma faute ?
-pleurant de plus bel- : Si...si tu veux....je....je peux quitter ta vie.....je ne supporterais pas de te voir souffrir à cause de moi.

Elisia détestait sa mère. Elle ne savait pas pourquoi mais maintenant elle le sait. Elle détestait sa mère parce qu'elle était comme elle. Passive, impuissante et pour elle, sa mère était aveugle. Mais...était-ce vraiment de sa faute ? Elisia détestait voir sa mère dans cet état. Elle détestait le fait que sa mère pleure à cause d'elle. Elle détestait le fait que sa mère se dénigre alors qu'elle n'y était strictement pour rien....enfin presque.

Pascal -enroulant un bras autour des épaules de Maeva- : Mais non Maeva, ce n'est pas de ta faute. C'est ta fille, on ne peut pas la comprendre...
Elisia : ESPÈCE D'ENFOIRÉ !
Maeva : ELISIA ! S'il te plait....je veux t'aider...dis moi...
Elisia : Je te hais...
Maeva -dévastée- : Co-comment ?
Elisia : JE TE HAIS !
Maeva : Mais...ma chérie....
Elisia : NON ! SURTOUT PAS ! Je ne veux plus de "ma chérie" ! Tu n'es plus ma mère, tu n'es plus ma génitrice, tu n'es plus rien pour moi, PLUS RIEN !

Elisia, en partant, quitta la maison sous le regard malsain de son manager. Laissant, dans sa chambre, sa mère en larmes au bord du gouffre, observant le sang de sa progéniture étalé sur le sol.

Elisia ayant le poignet, la joue et le front en sang, tenta tant bien que mal de partir le plus loin possible. Elle commençait peu à peu à reprendre le contrôle de ses jambes, qui étaient tremblante. Les gens dans la rue la regardèrent, choqués, ils ne savaient pas ce qu'ils devaient faire. Au bout d'une dizaine de minute, Elisia se trouva près d'une gare. D'ordinaire elle hésitait entre appeler son père ou Eloïse mais là, une autre personne lui vint en tête. La seule personne qui savait ce que son manager lui faisait subir. Elle composa fébrilement le numéro de cette personne, son poignet la faisant terriblement souffrir.

??? : ........
Elisia : Allô Kate. Je...je te dérange...?
Kate : ...... ?
Elisia : Heum...et bien.....je....enfin il.....
Kate : ............. ...... .... ... .......... .. ....... !?!?!?
Elisia -se tenant la tête- : Je....ne cris pas s'il te plait...ce n'est pas si grave. Je voudrais savoir....tu...tu es sorti de l'hôpital ?
Kate : .............
Elisia : Cool, j'espère que tu vas mieux ! Je....enfin....sans vouloir paraître...comment dire ? Collante....est ce que.....heum...
Kate : ........... ?
Elisia : Oui....oui c'est ça...
Kate : .........
Elisia : Me....merci Kate t'es....t'es géniale !

Kate mit fin à l'appel. Elisia entra dans le premier train s'arrêtant et suivit les indications de Kate. Donc, après s'être arrêtée au sixième arrêt, elle prit le bus, s'arrêta au quatrième arrêt puis en prit en autre où cette fois, elle s'arrêta au huitième arrêt. Elle fit tout se voyage en ignorant les gens faisant des remarques sur son état. Après quelques pas à l'Ouest, elle se retrouva devant un immeuble somptueux. Elle composa le code, que Kate lui avait envoyé, pour y entrer, donc <<257916>>. Une fois devant les boites aux lettres et le panneau d'interphones, elle rechercha le nom d'OWEN. Légèrement étourdie, elle avait du mal à lire mais finit par apercevoir son nom. Numéro 16, elle appuya sur l'interphone et répondit à la voix de Kate.
Après cela, elle prit l'ascenseur, n'ayant pas la force de monter huit étages.
Une fois l'ascenseur arrivé au bon étage, elle se dirigea vers la seconde porte, elle toqua à la porte en se tenant la joue qui saignait de plus en plus. Kate ouvrit paisiblement la porte avant d'avoir le visage décomposé devant le faux sourire apaisé d'Elisia.


Point de vue de Kate

C'EST QUOI ÇA !? Elisia, celle que je m'étais jurée de protéger est là, devant ma porte, au bord de l'évanouissement. <<Ce n'est pas si grave>> m'a t-elle dit. Et le prix de la personne la plus naïve revient à.......roulement de tambour.....KATE OWEN ! Qui croyait sérieusement qu'Elisia allait lui dire par téléphone <<Non je souffre le martyr, je crois que je vais mourir etc...>>. J'observa Elisia qui vacillait de gauche à droite en se tenant le front, là où un peu de sang coulait. Je l'attrapa par le poignet et la fis rentrer. Je lui ordonna de s'asseoir sur le canapé, ce qu'elle fit sans rechigner vu son état. Je me dirigea vers la mini-pharmacie disposée dans ma salle de bain et pris le nécessaire. Soit, des bandages, des compresses, du désinfectant puis, dans le salon, je me dirigea vers le tiroir du buffet, là où étaient posés mon arme et les pansements, que je saisis.
Je demanda à Elisia de se rapprocher de moi, ce qu'elle fit fébrilement. Je plaça sur son front, une compresse imbibée de désinfectant ce qui la fit sursauter.

Moi : Ecoute, je sais que ça fait mal mais si je ne le fais pas la blessure risque de s'infecter !
Elisia -à bout de force- : Je....je sais...

Je sentis ses lèvres trembler comme si elle voulait dire quelques choses qu'elle n'osait pas dire. Ou plutôt comme si elle voulait poser une question qu'elle n'osait pas poser.

Moi : Tu sais si tu veux me demander quelque chose, fait le !
Elisia : Je....enfin....peut être que.....heum....
Moi : Je déteste les gens qui bafouillent.
Elisia : En fait je....
 
Elisia se leva brusquement alors que j'allais reposer une compresse sur son front. Puis, les mains croisés au niveau de son ventre, elle s'inclina légèrement. C'est drôle, elle me fait penser à Kae.

Elisia -inclinée- : Je...je suis désolée Kate ! Je suis désolée d'être un poids pour toi ! En fait, je ne mérite même ton aide. Tu devrais me laisser crever parce qu'à cause de moi tu t'es retrouvée à l'hôpital et qu'il t'est arrivée plein d'ennui. Je ne sais même pas pourquoi tu fais ça mais je sais que ta vie serait plus simple si je ne t'obligeais pas à prendre soin de moi.

Je vis quelques larmes coulaient le long de ses joues, se qui me fit esquisser un sourire.

Moi : Espèce d'idiote !
Elisia -relevant la tête- : Hein ?


Point de vue d'Elisia

Je n'ai pas eu le temps de répliquer que je me retrouva collée à Kate qui avait passé ses bras autour de ma très fine taille. J'avais les yeux écarquillés par la surprise.

Kate : Tu n'es vraiment qu'une idiote Elisia HOLO. Tu ne m'as obligé à rien. Si j'ai décidé de m'interposer lors des lancés de compas, lors de coups de livre et si j'ai décidé de te pousser alors que les briques allaient te tomber dessus c'est tout simplement parce que je t'apprécie.

À ces mots, je plissa les yeux qui souffraient à cause des larmes qui s'y installaient. Je passa mes bras autour de son cou et la serra contre moi, après mes parents et Eloïse,  Kate est la première personne à me dire ça. Ça fait du bien...Mais pourtant, j'ai l'impression que le creux dans mon coeur est encore là, j'ai toujours autant cette envie de mourir. C'est fou, ce mélange entre l'envie de suicide et le bien-être de se sentir aimer.
Qui comprend ce sentiment ? Kate le comprend t-elle ? J'ai des doutes.
Au bout de quelques minutes d'enlacement, Kate me repoussa gentiment et me fit m'asseoir sur le canapé. Elle ré-approcha une compresse trempée dans du désinfectant de ma blessure, bizarrement, cette fois ci je n'ai pas eu de mouvement de recule. Certes la douleur que provoquait le désinfectant était insoutenable mais pourtant je me sentais bien. Je leva un peu les yeux pour tomber sur le visage à la fois sérieux mais apaisé de Kate. Elle sourit, ce sourire...Il n'est pas comme les autres que j'ai pu voir sur elle auparavant. Avant, quand je l'ai rencontré, je l'ai bien vu, ses sourires étaient faux. Il me semble que je lui avais dit.

Flash-back, il y a un cinq semaines

J'étais dans la cour, concentrée sur mon cahier de mathématiques étant donné qu'on avait un contrôle cet après-midi.

??? : Mal visé, très mal visé !

Je reconnais cette voix. Je me retourne et vois Kate, à quelques centimètres de moi, un compas dans les mains comme si elle venait de le rattraper. Je regarda la personne que Kate visait. C'est Charlotte, un des chihuahua d'Ambre, elle avait le visage fulminant de colère. J'ai vite compris ce qui venait de se produire.

Kate : Tu sais, si tu l'avais envoyé deux secondes plus tôt et un peu plus à gauche j'aurais eu beaucoup de mal à le rattraper et tu aurais pu facilement blesser Elisia.

Je rêve ou elle leur donne des conseils !?
Kate m'envoya un regard rassurant et moi je me leva brusquement et lui dit au revoir d'un signe de main. Je couru sur le toit. Je suis bête, je suis bête, je suis bête ! Une fois sur le toit, je regarda le ciel, il est d'un bleu magnifique, sans nuage, juste le soleil réchauffant mon visage avec une légère brise faisant planer mes cheveux rouge. Je me sens mal, pourquoi suis-je si froide avec Kate ? Elle qui m'aide tant ! Pourquoi m'aide t-elle autant ? Ces questions me tourmentaient. Je posa mes coudes sur les rambardes du toit et posa ma tête entre mes mains. J'entendis la porte de derrière s'ouvrir. Faites que ça ne soit pas Kate, je préfère encore que se soit Ambre.

Kate : C'est pas très gentil de partir comme ça.

Et merde ! Je me retourna enragée prête à lui hurler dessus.

Moi : ET PUIS QUOI ENCORE !? JE T'AI RIEN DEMANDÉ ! TU VEUX PAS QUE JE TE REMERCIE NON PLUS !?
Kate : Oh que si tu me l'as demandé. En me laissant intervenir à chaque fois sans rien dire, c'était en quelques sortes une demande d'aide. Et pour réponde à ta question, non. Je ne veux pas être remerciée. Je veux comprendre. Comprendre pourquoi les élèves te détestent, pourquoi tu refuses l'aide des autres. Mais par dessus tout <<Ce n'est pas au lycée que l'on m'a fait cela....Le danger est en dehors de ce bâtiment....>>, je veux comprendre cette phrase.
Moi -bouche-bée- : Je.....

Je sentais ma tête tournée, je l'attrapa violemment entre mes mains.

Moi : JE TE HAIS KATE OWEN !

Elle resta stoïque mais à la fois, elle me lança un regard interrogatif.

Moi -tremblante- : Je te hais parce que tu me donnes l'impression d'être importante. Je te hais parce que tu me donnes l'impression d'avoir une issue. Je te hais parce que tu me donnes de l'espoir ! UN FAUX-ESPOIR !

Je me mis à pleurer avant d'observer Kate et de porter mes mains à ma bouche ouverte par le choc, qu'est ce que...

Kate -troublée- : Qu'est ce qu'il y a ?
Moi : Ton....ton....ton bras....

Kate regarda son bras où un ruisseau de sang dévalé. Je regarda la source de ce ruisseau, c'est une coupure. Une coupure provoquée par un couteau. Je le sais. Je vis son visage mal à l'aise. Puis un sourire, un sourire dont seule elle à la secret, vint se dessiner sur son visage.

Moi : Comment tu t'es....fait...ç-ça...?
Kate : Ce n'est rien. J'ai percuté un peu trop violemment le bord d'une porte aux côtés pointus. Forcement ça fait mal.

Son sourire s'approfondit encore plus. D'habitude je laisse passer ce genre de sourires mais là non.

Moi : Espèce de menteuse...
Kate : Quoi ?
Moi : Tu me mens Kate.

Je la vis choquée, comme si j'étais la première personne à voir à travers son masque de jeune fille souriante à tendance froide.

Moi : Tu sais, j'ai grandi dans le milieu du spectacle. Entre les artistes véreux, les divas superficielles et les prodiges narcissiques, j'en ai vu passer des faux-sourire. Rares sont les fois où j'ai vu des vrais sourire dans ma vie. Je sais donc quand les gens mentent ou non. Et toi, tu me mens Kate.

Un sourire narquois se dessina sur son visage.

Kate : Tu as de bon yeux inspecteur Colombo !
Moi : Kate, pour...pourquoi tu m'aides autant ?
Kate : Pourquoi ? Parce que tu me rappelles une fille qui compte énormément pour moi.


Back in reality

Tout ses faux sourire n'avaient rien à voir avec le sourire qu'elle me donne aujourd'hui. Là, Kate a un visage angélique et protecteur et un sourire....un vrai sourire... Une chaleur intense se fit ressentir dans mon c½ur à cette vision. Alors c'est ça ? C'est ça se sentiment de pouvoir avoir confiance en quelqu'un, de pouvoir tout lui dire. C'est ça le sentiment d'avoir un confident. Même mon père et Eloïse ne m'avaient jamais fait ressentir ça. Tu es vraiment quelqu'un d'à part Kate OWEN. Vraiment ! Après qu'elle ait désinfecté tout mes plaies, qu'elle m'ait bandé la tête et qu'elle ait mis des pansements sur mes coupures à la joue et sur le poignet.Je lui raconta tout.

Moi : Et puis...il avait ce regard répugnant, rien que d'y penser ça me donne envie de vomir !

Après que j'ai raconté toute l'histoire, Kate me posa une question fatidique.

Kate : C'est quoi le numéro de ta mère ?
Moi : Qu-quoi ? Pourquoi tu veux savoir ça !?
Kate : Quand tu es arrivais devant chez moi tu étais paniquée, tu ne penses quand même pas passer la nuit ailleurs que chez moi ?
Moi : Non bien sûr que non mais...
Kate : Il faut que je prévienne ta mère. Elle pourrait appeler les flics et là les conséquences sont désastreuses.
Moi : Tu crois ?
Kate : Certaine. Ça serait une bonne opportunité pour parler de ce que tu subies au flic mais vu comment tu m'as parlé de ton batard de manager et vu toute les relations qu'il a, je suis sûre qu'il pourra leur retourner le cerveau en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Alors, donne moi le numéro de ta mère !

Sa voix était remplie d'autorité. Me voyant tremblante, elle adoucie son visage.
Je lui donna le numéro et elle l'appela, elle mit en haut parleur pour que je puisse entendre la conversation.

Kate : Oui allô, vous êtes bien Maeva SKITTLE, la mère d'Elisia HOLO ?
Maman -en larmes- : OUI ! Vous savez où est ma fille !? Qui êtes vous !? Est ce qu'elle va bien !?
Kate : Du calme madame. Je m'appelle Kate OWEN, je suis une camarade de classe de votre fille. Oui elle va bien mais elle encore hésitante sur le fait de rentrer chez vous. Elle souhaiterait donc passer la nuit chez moi pendant quelques jours. Ça ne vous dérange pas ?
Maman : Je...je veux entendre ma fille.

Je m'approcha doucement du téléphone.

Moi : Ma...maman ?
Maman -folle de joie- : MA CHERIE ! Tu vas bien !?
Moi : Oui maman, depuis que je suis chez Kate tout vas mieux. Je n'ai pas envie de rentrer à la maison, s'il te plait...laisse moi rester chez Kate quelques jours...
Maman : Tout ce que tu veux ma chérie ! Promet moi de m'envoyer des messages ! 
Moi : Oui maman, c'est promis.
Maman : Oh que Dieu soit loué ! Merci mademoiselle Kate, merci du fond du coeur !
Kate : Il n'y a pas de quoi.
Moi : Maman, est ce que Pascal est là ?
Maman : Non il est parti mais je vais le prévenir que tu...
Moi : NON ! S'il te plait non...
Maman : Mais il s'inquiète tellement pour toi.
Moi -commençant à pleurer- : S'il te plait maman.....ne lui dit pas.....
Maman : Tu pleures ma chérie !? Oh, d'accord je ne lui dirais pas...
Moi : Merci, au revoir....
Maman : Au revoir ma chérie. Je t'embrasse très fort. N'oublie pas de m'envoyer plein de message ! Reviens quand tu seras prête !
Au revoir mademoiselle Kate et merci pour tout !
Kate : De rien et au revoir madame.

Kate raccrocha le téléphone et je me sentis tout de suite plus légère.

Moi : Je suis surprise mais je suis heureuse qu'elle ne prévienne pas Pascal
Kate : Lors de ton récit tu m'as dit que les yeux de Pascal étaient répugnants.
Moi : Oui et alors ?
Kate : Les yeux sont les reflets de l'âme, as-tu déjà regardé ce de ta mère ?

Sur cette bonne parole, elle quitta le canapé, me laissant seule dans son salon. 

Moi -chuchotant- : Je ne sais pas pour ma mère....mais toi tu as des yeux magnifiques Kate.




Note d'auteur


Hello mes petits loups ! J'espère vraiment que ce chapitre vous aura plus parce que moi j'ai pris énormément de plaisir à l'écrire. Je crois que pour l'instant c'est mon préféré. Dites moi, s'il vous plait, ce que vous pensez d'Elisia et de Pascal et aussi ce que vous pensez de "l'évolution" de Castiel et Kate, j'ai l'impression que leurs développements sont trop rapides (je tiens à préciser qu'il y a aura d'autres flash-backs sur le mois qui s'est écoulé en mode ellipse). Mais par-dessus tout j'aimerais savoir ce que vous pensez de Maeva. Je n'ai pas l'habitude de faire des mères alors j'hésite un peu sur son caractère, j'espère que vous la voyez comme j'ai envie que vous la voyez, c'est à dire une bonne mère, seule et un peu paumée.
Voila voila, n'hésitez donc pas à laisser un commentaire ça fait toujours plaisir ^^

Fin du chapitre 5   Elle retourna s'allonger sur son lit et fixa le plafond avec un air des plus sérieux. Ayano : Gabrielle, je peux te poser une question ? Moi -perturbée- : Heu...oui, vas-y... Ayano : Pourquoi t'es ici ? Je sentis mon c½ur louper un battement. Point de vue de Castiel Mon beauceron qui ne cesse de brailler commence à me les briser. Moi : DÉMON FERME LÀ ! Je lui balança un coussin à la...

Suite
Tags : Pascal, Fanfiction, Amour sucré, Lysandre et Rosalya, Castiel, Ambre et Li et Charlotte, Kate OWEN, Kate ♥, Elisia, Maeva, Problème, coups, blessures, famille, soutient
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#Posté le dimanche 26 mars 2017 18:59

Modifié le mardi 04 avril 2017 20:10

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